Je me souviens du ciel gris. Des lumières de Miami, la ville que je voulais rejoindre à tout prix et par n'importe quelles manières.
La mer noire déverse sous l'avion ses vagues violentes. Au-dessus de nous, les serpens jaune grondent, hurlent, nous crient que nous n'aurions jamais du partir. Un éclait transparent couvre le ciel noir. Et là..


Il y a une jeune fille qui court. Son corps bronzé luisant. Ses cheveux blonds au vent. Cette jeune fille c'est moi, enfin je crois. Ca fait bien longtemps que je n'ais pas souris ni ris par ailleur. Ca fait bien longtemps que je n'ais pas vécu.



..Ca dois bien être la dixième fois que je me réveille. J'ouvre les yeux vers le ciel étoilé. La mer bleue azur fluorescente me fait de l'oeil. La lune blanche se mire dans mon regard.
Tout est calme. Je passe ma main dans le sable chaud qui m'entoure. la poussière or s'éffrite entre mes doigts. Je me lève et observe un moment la carcasse de notre avion et la dépouille de Pablo au loin, qui gisent toutes deux au milieu des poissons. Finallement je cours, je cours vers la forêt, vers cette masse verte tropicale qui me tend les bras.
Moi, Lily MacFerson, me voilà au milieu de nul part, disparue, et surement déclarée morte en se moment même. Que demanderai de mieux une trafiquante de drogues?
J'ai trouvé le paradis je compte bien y rester.

Cela fait des jours, voir des mois, des années, que je marche dans la forêt. Je suis absolument sure que cette île n'est pas si grande et que j'ai déjà fait au moins son tour des centaines de fois. Des miliers peut être. Le temps semble passé si lentement depuis que je suis là.Ca m'embête, ça m'énerve et je cris à qui voudrait bien m'entendre dans ce paradis perdu et désert..

[Je prend! Je répondrais demain ou après demain, j'ai pas mal de dev'

C'est plutôt "What the hell is going on here"]

[Ha. Oui. Faute de frappe je suppose, j'ai du mal me relire.]

Sautiller, sautiller encore et toujours sautiller. Ça pouvait paraître saoulant mais je trouvais cela amusant, sentir mon corps se soulever dans les airs puis être victime de la gravité. J'alternais de temps à autre par des galops. Il était encore tôt, je frissonnais légèrement mais faire sa chochotte sur une île paumée c'était pas très réfléchi. Sentant mes jambes s'engourdir, je m'arrêtais, remarquant également que j'étais essoufflée.
Je pris appuis contre une roche et fixais l'horizon. Que des arbres, tout était vert à l'exception du ciel que l'on apercevait très mal, normal, j'étais au cœur de la jungle.

Quelqu’un cris ! Un cri de fille d’ailleurs, ça me fit sursauter, qui pouvait crier de la sorte ? Aussi forte que cella ? Shay ? Non non, elle n’userait pas sa voix inutilement comme ça… Le fantôme que j’avais vu ? C’était une petite fillette, genre préééé-adolescence, Violette quelque chose, un nom français. Evidemment je fus submergée de curiosité et c’est ce qui me poussa à me lever et de chercher d’où venait ce son.

Là ce tenait une femme face à moi. Elle avait l’air mature et pourtant tellement hostile, pendant une brève minute, j’étais en admiration. J’avais toujours souhaité arriver à la fin de mon adolescence, arriver à la vingtaine. Enfin bon, je ne bavais pas face à une personne de plus de vingt ans, mais disons que je les enviais… Même si j’aime bien mon âge.

« Euh… Bonjour ? »

J’hésitais sur la façon dont je pouvais l’accueillir, ou peut-être qu’elle connaissait déjà l’île ? En tout cas elle avait l’air vachement furax et à bout ! Mais je doute qu’elle se mette en rogne contre une inconnue qu’elle devra se coltiner toute sa vie parce qu’elle aurait dit « coucou » à la place de « bonjour » ! Furax ou non.

« Euh… Bonjour ? »
Voilà ce que déclara une voix qui venait de derrière mon dos.
Je me retourne avec surprise, je dévisage la jeune femme brune qui me sourit.
Moi qui pensais être seule ici, me voilà rassurer. Même si je hais la présence des gens, elle m'est d'autant plus importante vu qu'elle peut me permettre d'obtenir ce que je veux.

"Bonjour." je déclare à mon tour.J'aimerai demandé à cette femme ce que je fais ici, où je suis. Non ce que je fais ici je le sais; je me cache. Si ça se trouve elle connait l'île ou y habite. Non impossible. Je n'ais pas encore vu la moindre habitation dans le coin.Je me demande si elle est arrivée avant moi. Ou après, ce qui serait fort possible, mais je ne m'en serais pas rendu compte. Le temps passe tellement lentement ici.

"Excusez-moi, je fini par dire pour couper ce silence, mais puis-je vous posez une question?"

Elle me répondit calement et posément "Bonjour", enfin de compte elle était pas si stressée que ça pour une nana qui tombe sur une île paumée on ne sait où. D'ailleurs à chaque fois que je suis menée à rencontrer quelqu'un qui s'amène sur l'île j'ai un flashback de mon naufrage. J'arrivais quasiment pas à bouger, je me demandais comment je faisais pour ouvrir les yeux... Pendant près d'un quart d'heure je vivais un enfer pas croyable. Bon après y a un petit con -plus âgé que moi j'avoue, mais on s'en fout bien- qui m'a mené au campement, tranquille genre "Bon c'est la que tu vis maintenant, il y a pas beaucoup de voisin dans le quartier, j'ai pas vraiment de conseille pour ta survie mais bon, allez ciao!" heureusement que j'avais trop someille pour me mettre à sa recherche, ça ne m'aurait mené à rien. En plus de cela, je ne l'avais plus jamais revu, j'ai dû jouer la sans amis pendant près d'une semaine, avant que James n'arrive et ne me tire de ce cauchemard.

"Excusez-moi, mais puis-je vous posez une question?"

« Ouais vas-y! »

Je levais un sourcil. Etonnant, non seulement elle était vachement calme même si je l'avais entendu crier de rage quelques minutes avant mais en plus elle me demandait super gentillement si elle pouvait me poser une question même si elle venait tout juste de le faire! Elle devait être défoncée, bah cool alors! Je pourrai fumer avec quelqu'un d'autre sur l'île! Ma nouvelle recette pour mes soit-disant joints improvisés n'était pas si mal, j'avais trouvé une herbe que je n'avais jamais vu auparavent, je l'ai donc baptisé "SAM", c'était un mélange de mes initiaux qui étaient dans l'ordre "AMS" < Andy Michael Shrieve.

Elle me répondit sans intonnement dans sa voix que oui elle était prête à répondre à ma question. D'après mon expérience c'était mauvais signe. Le milieu que j'avais fréquenté pendant plusieurs années n'avait rien de gai et de plaisant. Vivre au mileu des prostituées, des maqueraux, des cette racaille qui trainnent, grouillent comme de la vermine en quête d'argent, dans les favelas,qui n'apportent que la misère, la guerre, et l'horeur; m'avait dégoutée. Souvent, je me suis même souvent demandé pourquoi j'y suis entrée. J'avais un avenir devant moi. J'ai tout foutu en l'air.

Je ris. Je ris, oui. Encore une fois je vais dire que c'est risible. C'est comme si quelqu'un avait tout d'un coup prit mon être et lui avait dit de rire aux paroles de la jeunes fille. Je ne m'étais pas droguée, à ce que je me souvenais, c'est a dire, très peu de choses... Je n'avais rien fait de tel durant la soirée assez mouvementée d'hier. Je regardais l'autre fille dans les yeux tout en m'exclafant à son visage.

"Hahahahaha!!"

Puis je ne sais pas ce qui m'a prit. Une mouche tsé-tsé peut être, non, je n'étais pas je-ne-sais-où-en-Afrique, mais je lui criais au visage quelque chose, avant de lui demandé posément :

"Sérieux. Je suis où là?"

Je m'attendais à une question censée et importante avec l'air qu'elle avait, sérieux et stricte. Mais ses premières paroles n'étaient pas des paroles. Elle était plissée de rire je ne sais pourquoi, il y avait un singe qui s'amusait à jouer le clown ou quelque chose en moi la faisait rire? Je m'auto-détaillais rapidement, jean froissé, pull fin en lambeaux, je ressemblais peut-être bien à une clocharde! Et mon visage? Ca faisait si longtemps que je ne l'avais pas vu, j'avais égaré mon éclat de miroir bêtement, maintenant je suis condamnée à me pencher sur le lac où on se lave afin de voir à quoi je peux ressembler.

"Hahahahaha!!"

Je restais perplexe, et si elle avait des problèmes mentaux? Hum... J'aimerai bien jouer le rôle d'une psy alors! Ca à l'air vachement fun d'écouter les gens raconter leur vie pour dire à la fin "Et vous, qu'en pensez vous?" Bah qu'est-ce que tu veux qu'il en pense puisqu'il est venu chez toi voir qu'est-ce qui va pas chez lui? Je simulais carrément une scène d'une soi-disant consultation chez un psychologue qui serait évidemment moi.
Un son bizarre m'extirpa de mes pensés, cela venir peut-être du rire de la jeune femme? En tout cas c'était flippant. En même temps je suis pas mieux avec mes fous rires qui termine par des "Khh Khhhh Khhhh" comme si on m'étranglait.

"Sérieux. Je suis où là?"

Son visage avait changé d'un coup, arborant une expression sérieuse, comme tout au début. Je ne cache pas le fait que ça m'intimidais limite. Elle était assez grande d'ailleurs, ou non, elle faisait presque ma taille. Juste que j'avais en tête que tout le monde était grand juste parce que je me trouve petite alors que j'ai une taille tout à fait normale.

« Euh... Où on est... Bah tu sais c'est une question plutôt existentielle parce qu'il y a pas moyen de se barrer de là et en même temps on connait pas l'emplacement de cette île paumée... On est tous arrivé par naufrage il me semble. »

J'y pensais, seulement à présent, la fille en face de moi avti bien du se demander si j'étais folle àliée ou pas. J'espère qu'elle l'ait aussi, comme ça, on sera deux folles perdues au milieu de no where.

« Euh... Où on est... Bah tu sais c'est une question plutôt existentielle parce qu'il y a pas moyen de se barrer de là et en même temps on connait pas l'emplacement de cette île paumée... On est tous arrivé par naufrage il me semble. »

Sa voix me fit sortir de mes pensée qui avaient été tournées un bref instant vers le futur. Je me suis demandée si j'allais restée là toute ma vie, ou bien, si j'allais pouvoir rejoindre sur Etats-Unis à la nage, tient! Ce serait quelque chose de cool à tester! Nager à travers les flots déchainés de l'océan, bravant toutes les tempêtes! Bref, elle me regarda avec un regard sérieux. Elle sembla presque plus amture que moi, je savais bien que j'étais complétement à côté de la plaque part moment, mais l'expression de son visage me fit frémir. J'abordais un sourire d'adulte responsable et sachant se sortir de n'importe quelle situation.

"Hum. Hum. Et à par ça, c'est quoi ton nom?"

La discussion aurait du commencer par ça je suppose. Le fait que je sois perdue au milieu de nul part, ça ne m'inquiète pas. le plus inquiètant pour moi était de ne pas savoir à qui j'avais affaire.

Sourire de personne assurée au lèvres, la demoiselle -que sais-je!- se tenant devant moi arborait une pose d'une personne responsable, genre la gueule que prennent les profs pour nous montrer qu'on est tous cons malgré nous mais que tout est sous contrôle quand même.

"Hum. Hum. Et à par ça, c'est quoi ton nom?"

Elle toussota au début de sa phrase, se rendant surement compte qu'on allait souvent se voir à partir de maintenant, elle demanda donc quelque chose de tout de même assez important -wouaw j'ai ma propre importance!. Lui tendant ma main je tentais malgré moi de sourire chaleureusement, genre "Bienvenue! Maintenant tu fais partie de notre secte de droguée pourtant inexistante puisque je suis la seule à vraiment me droguer ici!" mais je fermais ensuite ma bouche parce que j'avais les lèvres gercées donc ça me faisait mal.

« Enchantée! Moi c'est Andy Michael Shrieve. Je dis Michael, mais enfaite on s'en fout bien, c'est juste pour que ça aille avec Shrieve, tu sais le batteur... Enfin ça dépend de quelle année tu viens toi! A voir ta tête et ton style t'es pas bien loin de moi! Mon nom par contre on s'en fout également parce qu'il y a pas beaucoup d'Andy dans les parages mais ça me fait tout de même plaisir de le dire donc voilà qui est fait! »

Reprenant discrètement mon souffle, je remarquais que j'avais beaucoup parlé... Mais ça me faisait tant plaisir d'enfin voir quelqu'un qui semble avoir l'air responsable! Parce qu'être une communauté d'ado c'est cool au début, mais à la fin on aimerait bien avoir la compagnie de quelqu'un qui a eu de l'expérience dans la vie adulte, la vraie vie quoi. J'avais également parlé vite, mais le fait que je m'étais appliquée à bien articuler rendait mon speech audible.

« Et toi? Ou vous? Tu préfères que je te tutoie ou vouvoie? »

Je trouvais sa bête de poser la question maintenant et tout en la tutoyant alors que je le faisais également depuis tout à l'heure, mais comme on le dit, "C'est maintenant ou jamais" donc autant voir ses préférences au lieu de lui lancer des "tu, tu, tu..." alors qu'elle aurait préféré des "vous, vous, vous...".

Elle me tend sa main, du genre "Hello bienvenue ici stranger". Je lui tends la mienne. Directement. Elle avait réussit à me faire penser qu'elle aurait bonne influance.

« Enchantée! Moi c'est Andy Michael Shrieve. Je dis Michael, mais enfaite on s'en fout bien, c'est juste pour que ça aille avec Shrieve, tu sais le batteur... Enfin ça dépend de quelle année tu viens toi! A voir ta tête et ton style t'es pas bien loin de moi! Mon nom par contre on s'en fout également parce qu'il y a pas beaucoup d'Andy dans les parages mais ça me fait tout de même plaisir de le dire donc voilà qui est fait! »

Elle déballa très vite son nom, pour enfin rajouter pleins de trucs, que j'aurais considéré comme innutile si je n'tais pas ici. Je me fais sourire cette gamine. Enfin je dis gamine, mais je me demande bien qu'elle âge elle pouvait avoir. Dix-huit ans? Peut-être bien moins. En tous les cas elle me fait rire. Autant à côté de la plaque que moi! Ca tombait bien. Peut être qu'elle se droguait aussi!
Je lui lançais unn regard du genre "Mais non tu n'a pas parlé trop, c'est juste que normalement les gens ne parlent pas pour deux." Finallement j'ouvris la bouche à mon tour, mais elle me coupa dans son élan posant une question qui ne m'était pas encore venue à l'esprit :

« Et toi? Ou vous? Tu préfères que je te tutoie ou vouvoie? »

Je ris. Un rire haut perché, bien aigue et qui coupe les oreilles. Ce genre de rire qui semble joyeux, mais enfait non. Pas du tout. A vrai dire, j'étais sure qu'elle veut qu'on se tutois. Je choisis donc la voie qu'elle préférerait.

"Fais comme tu veux.. Ah oui. Moi c'est Lily MacFerson!"

Nous nous serrâmes les mains normalement, genre "Ohoh! Coucou à toi, John!", en même temps on allait pas ce serrer les mains comme des amoureuses en s'étreignant jusqu'à ne plus pouvoir respirer. Je pissais mes lèvres tout en esquissant un sourire, genre le sourire qui signifie s'tu veux "Ohohoh je compati avec toi Charles, c'est pas ta faute si tu es coincé là hein?"

"Fais comme tu veux.. Ah oui. Moi c'est Lily MacFerson!"

Comme je veux... qu'est-ce que je voulais déjà? Ah ouais! J'optais donc vers le tutoiement, c'était plus simple puisqu'à partir d'aujourd'hui on était euh... bah... On vivait sur le même campement. Enfin j'imagine que ça se passera comme ça. Ça serait bien trop bête si elle décide de ce faire son propre campement genre "Dégagez de là bande de sacripants!"... Lily MacFerson... Ça sonnait vachement british, surement à cause du Mac, il y a pas mal de Mac british non? Pourtant elle avait pas cette fameuse bouille anglaise. Breffement, Lily, c'était simple comme prénom et plutôt courant. Deux syllabes, quoi de plus facile? J'étais sur le point de me présenter une nouvelle fois quand je me retins d'une gifle mentale. On peut être con, mais pas à ce point voyons.

« Ohohoh! Tu auras plein de choses à apprendre Lily! Enfin... Pas tant que ça mais bon... Euh... bah... (je tortillais une mèche entre mes doigts, quelle était l'étape à suivre après une présentation brève avec un nouveau naufragé?) Tu veux voir le campement? C'est juste derrière cette masse d'arbre! »

[Très court, très pressée (j'ai AS)]

[Tu fais quoi comme sport? O.O]

Elle me dit que j'ai des choses à apprendre. Peut être bien qu'il y a finallement une comunauté sur cette île paradisiaque. Peut être bien que je ne suis finallement pas toute seule. Déjà il y a Andy. Et quelle Andy! J'suis sure qu'elle est comme je pouais m'y attendre. C'était mon intuition qui me disait ça. Je suis sure qu'un fois ici, plus rien ne ferrait qu'on se sépare.

"Il y a d'autres personnes ici ?! , je m'exclame en tentant tout de même de garder mon calme. Ce n'est aps que je suis surprise de l'entendre, c'est juste que j'avais fait des centaines de fois le tour de cette île, à ce que je puis me rappeller, et que je n'avais jamais, ô grand jamais, croisé un quelconque être humain venant de cette planète, notre chère planète qui est ravagée par des fous furieux à la tête des pays, et qui ne pensent qu'à leur porte-monnaie, mais surout le pire tout de même c'est le réchaffement climatique et que personne ne fait rien pour l'arrêter; je dis donc, que je n'avais jamais vu un quelconque humain. Puis je répondis, Aucun problème! Allons au campement!"


Une étrange expression sembla s'afficher sur mon visage. Moi qui suis d'ordinaire froide avec des gens nouveaux, je viens de me rendre compte que je souris et ris avec cette jeune fille brune. Est-ce la faute de l'île?

[ping pong et escalade Il est trop chou ton nouvel avatar]

Soudainement, une lueur d'espoir illumina les yeux de la jeune femme. C'est comme si elle s'attendait à ce qu'on ne soit que nous deux. Ça veut dire que j'avais vraiment une gueule de shootée? Au point qu'on pense que je vis toute seule ici? Oh et puis c'est pas de ma faute si les bananes ne serve pas aux soins de visage pour m'empêcher cette gueule de chacal. Ohhh... C'est dans ces moments là que je veux un miroir.

"Il y a d'autres personnes ici ?!"

La façon dont elle le disait me donnait envi de sautiller avec elle tout en gémissant "Ouiiiii!". C'est la que je remarquais qu'elle ne semblait pas du genre à avoir ce genre d'expression. Je ne la connaissais pas autre fois, mais il y a toujours ce truc qu'on remarque quand quelqu'un est exceptionnellement enthousiaste.
J'imagine qu'elle voudra avoir sa propre cabane... Pour l'instant je vivais toute seule, c'est clair de temps à autre je voulais squatter la petite cabane de Shay, être près d'elle, sentir son souffle chaud à mes côtés... euh HUM. Il y avait aussi la cabane de Violette le fantôme. Je me demande d'ailleurs si les fantômes dorment... Breffons!

"...Allons au campement!"

Entament le chemin du "retour", il n'y avait plus besoin d'écarter les branches barrant notre passage puisqu'avec James on les avait coupé. Maintenant ça faisait un joli petit sentier tout nickel.

« C'est par là! »

[suite : Ta cabane? Tu commences?]

[Merci >O< .. Ok, je fais la suite ICI]