Alvis E. Donatelli
« Can you read my mind? »
Nombre de messages : 87
Pays d'origine : Italie
Emploi : Il envisagait d'être pilote de F1
Date d'inscription : 11/09/2009
Ton personnage Nom & Prénom: Alvis Elio Donatelli Âge: 27 ans Sexe: Masculin
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Sujet: Alvis Elio Donatelli. [Fini] Lun 14 Sep - 14:52 |
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RPG
| Nom : Donatelli Prénom : Alvis Elio Surnom (Facultatif) : Elvis Âge : 27 ans Nationalité : Italien, Florence Époque - Année du personnage : 2009
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Description physique : Ni super bronzé, ni maladivement pâle, Alvis arbore un teint quelque peu mâte, et le bronzage peut lui rendre bien, sauf quand ça pèle évidement. Nez droit, lèvres aucunement pulpeuse et visage approchant les formes carrées, sont visages n’a aucune anomalie et est parfaitement symétrique. Ses yeux sont noirs donc on a du mal à percevoir sa pupille et ses sourcilles sont droits, il n’a jamais vraiment eu besoin de toucher à la pince à épiler. Mi-longs et presque indomptables, ses cheveux châtains lui donnent de temps à autre du fil à retordre en ce qui concerne la coiffure. Une vague frange couvre quelques parcelles de son front, ça ressemble plutôt à des mèches, d’ailleurs. Le corps d’Alvis est bien bâti, malgré la maigreur de celui-ci, ses épaules sont bien droites et la vue de ses tablettes de chocolats n’est pas désagréable. Il atteint environs les un mètre quatre-vingt dix, il est classé en temps que plus grand membre de sa famille. En parlant de corps, les vêtements qui le couvre sont classiques : tee-shirt simple, jean droit et des converses, mais lorsqu’il lui arrive de porter des vestes, ça se fait remarquer, le plus souvent elles lui donnent l’air de sortir du clip Thriller de Michael Jackson, il est fasciné par les 80’s. Description caractériel : Égoïste, chiant et orgueilleux sont les trois adjectifs dominants en se qui concerne son caractères. Maitre de lui-même, Alvis se fout du monde et trouve que les relations amicales sont tout à fait bidons… Peut-être a-t-il ses raisons de penser ainsi ? Il a toujours du mal à accepter qu’il a faux, il n’est pas du genre à accepter que des personnes mettent des points sur les I lorsqu’il est persuadé d’avoir raison, même quand il a tort d’ailleurs. Évidemment au fond de lui il y a quand même de la sympathie, il n’est pas pourri jusqu’aux os. Alvis ne classe pas les gens en temps qu’amis ou ennemis, il y a seulement des gens à qui il tient, d’autre non. Lorsqu’il lui arrive d’éprouver de la sympathie pour quelqu’un ce n’est pas du genre « Je te sauverai quoi qu’il arrive, mon pote à moi ! » mais juste qu’il peut envisager de l’aider quand il se retrouve dans la merde. Homme jaloux, les personnes le connaissant ne s’aventure jamais à taquiner de manière familière une de ses rares copines. S’il était un des sept pêchés capitaux, il serait peut-être bien la colère. Perdant son sang froid très vite, il ne se lasse jamais de son paquet de clope, source de réconfort pour lui. Histoire : Né en 1982 à Florence, en Italie. Issu d’une famille honorable et aisée, l’enfance d’Alvis fut un long moment d’ataraxie. Il ne reçu jamais l’amour de ses parents, mais il s’en foutait un peu, il n’avait jamais pensé à comparer sa vie avec celle des autres. Son père travaillait à plein temps et avait un tempérament de chacal, tandis que la mère passait le plus clair de son temps dans des centres commerciaux des quartiers les plus chics, ne se lassant jamais du lèche-vitrine avec sa bande d’amies, oubliant qu’elle avait un fils à la maison et ne parlons pas de la gouvernante, ou plutôt « celle-qui-profite-de-la-ligne-téléphonique-à-plein-temps »… Entre temps, ça lui facilita la possibilité d’être autonome très jeune. C’est vers ses douze ans qu’il remarqua que la richesse de ses parents et les collèges privés réservé aux bourges n’étaient que poisons, il commença à se révolter, mais ses parents s’en foutaient bien, ils se disaient juste qu’il était con et que « ça allait passer ». À quatorze ans, il se mit vraiment à montrer son mécontentement et ses exigences, se mettant à sécher presque tous ses cours et se teignant les cheveux en noir, il faisait du mieux qu’il pouvait pour s’affirmer, il devenait peu à peu mégalomane. Mais ses parents l’écartèrent juste du chemin en l’inscrivant dans un pensionnat, comme n’importe qui ferait déguerpir une mouche à merde avec une tapette à mouche. Il passa une année là-bas, se retenant de faire péter les murs, il rencontra d’autres garçons tout autant en conflit avec leurs parents que lui. Quand ses seize ans arrivèrent, il sorti tout simplement du pensionnat, sac par-dessus l’épaule, et ne revint plus. Jamais il n’avait pensé que la liberté était à porté de mains. Alvis vécu dans un appartement en banlieue avec deux de ses amis, ses parents ne l’appelèrent pas, ne le contactèrent jamais, ça ne le dérangeait pas plus que ça. Il fit parti d’un groupe du genre racaille jusqu’à se qu’il remarque que c’était pour les faiblards, découvrit entre temps la musique mais tenait plutôt à soigner son style, il ne voulait plus être ce petit blaireau aux cheveux parfaitement raides ou aux chemises bien repassées, il coupa lui-même ses cheveux, coupe assez déjantée, avec plusieurs mèches folles. La moitié de son fric passait dans les vestes vintages, il adorait ça. Les petits boulots défilaient jusqu’à ce qu’il puisse se payer un stage de pilotage Formule 1, tous les moyens de transport motorisés et rapides le fascinaient, mais il voulait surtout savoir manier le volant d’une F1, les karts ne semblaient pas assez puissants pour lui. Il s’avérait que c’était un pilote prometteur. Il avait en quelque sorte « atteint » ses objectifs, même si il ne ressentait aucune joie ni excitation à cela, c’était à nouveau l’ataraxie. Hystérique, il s’exila sur un coup de tête au Canada, il s’amusa à faire des batailles de boules de neige avec des gamins sans vraiment en ressentir le bonheur. La destination suivante était la Floride, il voulait aller à Orlando pour essayer toutes ses magnifiques montagnes russes et tous ses manèges made in Disney. Ce fut une erreur fatale mais il ne le savait toujours pas, inconstamment, il se fourrait en plein dans le Triangle du diable…
Objet(s) gardé(s) : Sa brosse à dent, ses fringues et une radio écolo (qui marche grâce aux cellules photovoltaïque ou par une manivelle). IRL(*facultatif) Prénom : Rim… I’m Andy, dude ! Âge : 14ans Comment avez-vous connu ce forum? J’ai fait une recherche approfondie sur des excréments de chameau. Code : Silver + Lullaby
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Date d'inscription : 06/01/2009
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Sujet: Re: Alvis Elio Donatelli. [Fini] Mer 16 Sep - 15:28 |
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Validée! [Pff schizophrène]
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